Le président de Montpellier explique ne pas penser à une place européenne pour sa formation, même si les Héraultais peuvent y croire.
« Je préfèrerais même parfois avoir 35 points, six ou sept points devant les relégables, plutôt que d’avoir 48 points et être comme on est maintenant. Parce que c’est insoutenable, invivable. Un jour on nous dit qu’on va faire l’Europe, un jour non. Mais l’Europe, moi, je m’en fous. C’est surtout notre place, la prime au classement, qui sont importantes, pour poursuivre nos projets, explique le truculent président de Montpellier dans le Midi Libre. Avant de préciser ses projets. J’espère qu’on va finir 6e ou 7e. Moi, je ne prendrai rien mais on fera un bon truc avec le centre de formation;, Je voudrais acheter des terrains, il faut qu’on trouve quelque chose et je pense que Georges Frêche nous aidera pour créer un beau centre. Parce qu’on ne peut plus vivre là où on est, c’est impossible. Moi, c’est ça qui me stresse. Sinon, l’Europe…»